Fidèle à ses racines techniques et prog’, Periphery poursuit son ascension. Affichant six albums au compteur, le quintet américain reste le fer de lance d’un genre (ou sous-genre, ou d’une technique ?!) : le Djent. Son dernier opus s’appelle même Periphery V : Djent is not a Genre, et constitue à la fois un véritable pied de nez aux trolls de la toile, et une private joke qui lie les membres du groupe depuis vingt ans. L’ouverture sur le consensuel « Wildfire » trahit ses secrets (guitares 7 cordes, growls, solo digne de Meshuggah…), avant une interruption déconcertante par un break jazzy.
Fidèle à ses racines techniques et prog’, Periphery poursuit son ascension. Affichant six albums au compteur, le quintet américain reste le fer de lance d’un genre (ou sous-genre, ou d’une technique ?!) : le Djent. Son dernier opus s’appelle même Periphery V : Djent is not a Genre, et constitue à la fois un véritable pied de nez aux trolls de la toile, et une private joke qui lie les membres du groupe depuis vingt ans. L’ouverture sur le consensuel « Wildfire » trahit ses secrets (guitares 7 cordes, growls, solo digne de Meshuggah…), avant une interruption déconcertante par un break jazzy.
Ce n’est pas la seule surprise à venir, en atteste la balade 100 % électro-pop « Silhouette » ! Heureusement, « Atropos » et « Dracul Gas » nous ramènent sur terre, aux origines du combo du Maryland (USA), dont les envolées vocales et les guitares travaillées contrebalancent avec le tressautement caractéristique du metal djent. Alors, à l’heure des courants de pensée et identités non genrés, on s’interroge : le Djent est-il un genre à lui tout seul ? [Marie Gazal]
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