Après Under Jolly Roger, un troisième opus très remarqué qui lança véritablement la carrière de Running Wild vers de nouveaux horizons et introduit le thème des pirates cher à la formation de Hambourg (thème qu’ils n’abandonneront plus lors de leur longue carrière), nos voisins allemands se devaient d’enfoncer le clou pour franchir une étape décisive ! C’est chose faite avec Port Royal qui s’inscrit dans la droite lignée de son prédécesseur et s’engouffre totalement dans l’histoire de la piraterie. Il suffit de jeter un œil sur la pochette, ambiance taverne de l’ile au trésor (Robert Louis Stevenson), pour comprendre. Port Royal est devenu au fil des années un classique incontournable du genre.
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