C’est par un drôle d’effet folk/bluesy interprété à la guitare électrique (genre qu’apprécie de plus en plus le guitariste/chanteur Kyle Rasmussen (lire notre interview)) aux sonorités dérangeantes et décadentes annonciatrices d’un massacre sonore (dans le bon terme ici) que s’ouvre ce deuxième méfait de Vitriol. Ce premier titre s’appelle « Shame and its Afterbirth ». Et croyez-nous, profiter de cette intro, car vos oreilles vont ensuite souffrir ! Suffer & Become porte d’ailleurs bien son nom (dans le bon sens du terme encore une fois) et s’annonce déjà comme la première grosse claque death metal de ce début d’année en provenance de l’Oncle Trump, pardon, l’Oncle Sam...
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