Voici Dvne : une nouvelle sensation post metal alléchante qu’il va falloir suivre de très près malgré les obstacles (Brexit, covid-19…). Ce second album des Ecossais (et d’un Français) au nom étrange (le groupe originaire d’Édimbourg aime les néologismes en langue ancienne) distille, non pas un whisky écossais, mais un sludge/stoner heavy et mélodique clairement influencé par Mastodon (mais pas que : Opeth sur « Court of the Matriarch ») mâtiné d’envolées progressives vous emmenant dans de lointains horizons lyriques inspirés de SF mystique (Frank Herbert oblige) et par d’antiques mythologies. Telles des montagnes russes, ou plutôt des dunes de sables, on surfe ici entre atmosphères chaleureuses et mélancoliques (« Omega Severer » et sa voix féminine), et véritables passages telluriques (« Towers »). On vous attend de pieds fermes en France, Dvne, et vivement que les concerts reprennent ! [Seigneur Fred]
=> Interview du guitariste Victor Vicart du groupe DVNE à retrouver ici
Publicité