#power violence

Attention, chères passagères, chers passagers, ceci est un avis de turbulence(s) grindcore à l'approche du phénomène américain Escuela Grind. Si dernièrement, le quatuor déjà auteur de deux albums et deux EP fracassants tant musicalement que par leur nom, a plutôt fait parler de lui en mal à cause des révélations balancées par son ancien tour manager à propos du soi disant comportement de ses membres allant à l'encontre de l'attitude et des paroles d'inclusion défendues à grand coup de riffs et mosh parts sur ses chansons, Escuela Grind risque de faire d'autant plus mal...

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A la première vue de la chanteuse Liz Selfish, on s'attendrait musicalement à du Lady Gaga ou du Shakira, mais pas à du hardcore/grindcore crossover qui envoie du steak !! L'habit de ne fait pas toujours le moine. Avec ses growls que la frontwoman éructe au micro, la surprise est de taille, même si ce genre de combos devient légion, il faut bien l'avouer, ces derniers temps au pays de l'Oncle Sam, mais aussi ailleurs dans le monde ! Bienvenue donc dans le monde de Brat !

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Et si la femme était l'avenir de l'homme dans le hardcore, voire le grindcore ? A force de voir débarquer tout un tas de nouvelles formations américaines ou européennes plus énervées et rebelles les unes que les autres (Gel, Escuela Grind, Dying Wish, ou Brat dans le cas présent...), cela nous sort un peu des standards habituels du hardcore/metal et majoritairement masculins. Un nouveau vent de fraîcheur semble ainsi souffler sur la scène depuis quelques années déjà, dépoussiérant le music business actuel. Mais attention au revers de médaille et à ne pas créer non plus de nouveaux clichés, quitte à tomber dans la caricature !

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