Pourquoi changer une formule qui fonctionne ? Cette question, on pourrait la soulever assez souvent dans le domaine de la musique, mais, en ce qui concerne l’institution qu’est Iron Maiden depuis 1975, elle ne se pose pas ou plus… Se sentant bien en France, le légendaire groupe britannique de heavy metal a donc repris le chemin, non pas de l’école, mais des studios parisiens Guillaume Tell pour nous proposer un dix-septième album studio haut en couleur. Quarante ans après le fameux EP live Maiden Japan, Eddie ressort son katana ! Banzaï !!!
[Chronique par Julien Meurot – Photo : John McMurtrie]
Bien que le Coronavirus soit passé par là, jamais Maiden n’avait laissé s’écouler autant de temps entre deux albums. Pourtant, tout a commencé en 2019 avec une idée assez simple : reprendre ce qui avait marché pour le précédent, à savoir une méthode de travail efficace et stimulante. On compose, on répète, on enregistre. Il est d’ailleurs amusant de constater que la production est supérieure à celle de son prédécesseur, pourtant réalisé dans les mêmes conditions.
Steve Harris : « Nous avons choisi de retourner aux studios Guillaume Tell, car le feeling qu’il dégage est relaxant et l’équipement est également parfaitement adapté à nos besoins. C’était un cinéma autrefois et ses murs très hauts restituent une très grande performance acoustique. L’album a été enregistré de la même manière que le précédent, The Book Of Souls, à savoir écrire un titre, le répéter, et l’enregistrer dans la foulée tant qu’il est frais. »
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=> Retrouvez très bientôt la suite de cette chronique du nouvel album studio d’IRON MAIDEN Senjutsu dans le numéro 99 gratuit de METAL OBS (septembre/octobre 2021) :
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