#Mercyless

Infatigable, increvable, insatiable, on ne sait pas si c'est Max Otero qui l'est, lui le leader et co-fondateur de Mercyless un beau jour de 1987 (alors sous le nom de Merciless déjà pris), ou bien nous qui le sommes devenus tant le death metal du fameux groupe alsacien est viscéral et fait partie de notre quotidien depuis toutes ces années dédiées à la cause...

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Quand on est passionné et que l'on a une idée derrière la tête, on est parfois prêt à soulever des montagnes, et ce, quelles que soient les embûches rencontrées (pandémie, manque de temps, problèmes de moyens, de line-up, démotivation...). Même pour un loisir comme la musique et quand on est rarement un musicien professionnel surtout dans le domaine du death metal. Ce n'est pas le guitariste Eron, motivé à bloc comme jamais pour son nouveau groupe Cryoxyd...

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C'est à l’occasion de la venue de l’un des fers de lance du death metal français, Mercyless, lors d’une soirée black et death tout bonnement excellente en mars dernier à Orléans (comme il se fait parfois trop rare en province) que nous avons tapé la discussion avec son leader Max Otero en terrasse du Dropkick Bar...

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Fidèle étendard du Death Metal français depuis trente-trois ans, Mercyless s’apprêtait au printemps dernier à partir sur les routes de France et de Navarre pour présenter le successeur de Pathetic Divinity qui était prêt avant l’arrivée de la pandémie liée à la Covid-19. À la suite de cela, nos vétérans auraient pu jeter l’éponge, mais c’est bien là mal connaître son leader Max Otero, toujours aussi passionné et affable

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Derrière ce patronyme volontairement barbare et old school, certes pas original pour un sou sur la scène Métal actuelle (à ne pas confondre cependant avec nos voisins italiens (...)

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En 1977, Bon Scott proclamait « Let There Be Rock » ! En 1992, date de parution de ce premier album de Mercyless, cette formation du pays de la Tarte Flambée, aurait pu clamer haut et fort « Let There Be Death » ! Ce fut chose faite à la publication de « Abject Offerings » qui mettait les pendules à l’heure avec cette pierre angulaire de l’underground death metal made in France.

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