On ne les attendait pas de sitôt, pourtant, après nous avoir offert l’album Fourth Reign Over Opacities And Beyond en septembre dernier (lire notre entretien et chronique), ACOD surfe sur la vague des très bonnes critiques de ce dernier. Nos Marseillais ont bien raison de battre le fer tant qu’il est chaud, dans cette traversée brûlante des enfers à l’image de l’artwork ici qui semble fortement inspiré par l’œuvre de Dante. Cette fois, ils nous proposent un simple EP intitulé Cryptic Curse comportant seulement trois titres. Une pièce assez courte donc, mais réellement efficace, dans la droite lignée artistique Fourth Reign (…).
#ACOD
Déjà le cinquième opus pour la formation phocéenne de black/death metal mélodique que rien ne semble ébranler, à l’heure où malheureusement certains de leurs confrères jettent l’éponge (Svart Crown). À l’image du superbe nouvel artwork représentant un voyage dans l’au-delà, entre le purgatoire et l’enfer, ACOD continue son périple contre vents et marées, n’étant pas du genre à chômer ni à baisser les bras. Après l’arrêt de son précédent label qui publia The Divine Triumph en 2018, les Marseillais nous offrent Fourth Reign Over Opacities And Beyond. Nous avons fait le point avec son chef d’orchestre.
Il est un label français diaboliquement actif sur la scène du metal extrême depuis une bonne dizaine d’années maintenant et qui justement intègre l’aspect bénévole au cœur de son travail :
Un peu trop rapidement estampillé à ses débuts « death métal moderne » à la Gojira mais aussi Dagoba pour ses influences thrash et l’aide du producteur/chanteur Shawter, le groupe phocéen a progressivement évolué à partir de l’EP Another Path… (autoproduction) qui ouvrit en 2014 un nouveau chemin afin de se détacher de ses étiquettes un peu trop collantes
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