« Le temps, c’est un peu comme le vent. Le vent, on ne le voit pas : on voit des branches qu’il remue, la poussière qu’il soulève. Mais le vent lui-même, personne ne l’a vu ». Jean-Claude Carrière. Les vents tempétueux faisant s’envoler les poussières du temps long ? Cet aphorisme ne pourrait-il pas être celui de l’œuvre d’Aorlhac ?
