Pirate Queen, un vaisseau venu d’ailleurs peuplé de fantômes errant sur les mers en quête d’or et du fameux Eldorado depuis 1523 soit disant d'après la légende, enfin la biographie du label Despotz Records... C’est en quelque sorte l’histoire de ce tout jeune équipage hispano-britannique entièrement féminin qui débarque de nulle part, sabre à la main...
#Heavy Metal
Nils Courbaron fait partie de ces musiciens aguerris qui, malgré leur jeune âge, ont déjà une longue expérience derrière eux. Après Lyr Drowning, Think of A New Kind (T.A.N.K.), ou les actuels DropDead Chaos, et Sirenia ,deux formations dont il est toujours le guitariste, 2024 voit la naissance de Bloodorn. Aujourd’hui, le guitariste français réalise l'un de ses rêves : avoir son propre groupe de power metal extrême et développer son style à lui, c’est-à-dire un power metal puissant (forcément), et classieux. C’est chose faite avec cette première bombe de Bloodorn, nommée Let The Fury Rise à paraître en mai...
Pour ce premier opus de Bloodorn, le guitariste breton Nils Courbaron (Sirenia, Dropdead Chaos) a su s’entourer de musiciens expérimentés : Mike Livas (Silent Winter) au chant, Francesco Saverio Ferraro (Freedom Call) à la basse, et Michael Brush (Sirenia) à la basse. Avec un line-up pareil pour son propre groupe, pas question de décevoir ici. Nils a donc placé la barre très haut et il le sait, ce premier essai Let The Fury Rise ne pouvait être raté...
Cela fait quarante-huit ans qu’Accept distille son heavy metal teuton à travers toute la planète, devenant au fil des ans une sorte d’institution régie de main de maître par Wolf Hoffmann, le guitariste émérite et seul rescapé de la formation originale. Depuis l’arrivée de Mark Tornillo en 2009, et la publication des excellents Blood of Nation et Stalingrad, Accept a su surfer sur la nouvelle vague true metal...
Toujours aussi productif, l'inusable duo norvégien Darkthrone est, sans surprise, de retour dans l’actualité metal en cette année 2024. Et le terme « metal » sied à merveille pour ce vingt-et-unième album de la formation car on ne peut plus vraiment pleinement parler de true black metal depuis déjà quelques années avec les ouvrages de Nocturno Culto et Fenriz. Aujourd’hui, It Beckons Us All, semble être plus que jamais l’album de la division, même s’il prolonge l’orientation heavy metal progressif d’Eternal Hails......
Il y a désormais deux Dokken, l’officiel mené par Don Dokken (en tournée en Europe cet été) et un autre « sous stéroïdes » labellisé The End Machine. Le nom a changé mais on y retrouve la même vaillance et la même détermination chez Jeff Pilson et George Lynch. Le secret de ce projet réside en la simplicité de la production et des arrangements...
Pas de doute, Blue Öyster Cult, en annonçant que Ghost Stories sera leur ultime disque, a créé l’évènement d’autant plus que celui-ci porte bien son nom puisqu’il propose en fait douze anciens morceaux couvrant la période 1978-2016, et qui n’étaient pas sorti à l’époque. Une forme de cadeau final pour tous les fans qui les suivent depuis toutes ces années. Enregistré par le line-up originel...
Fidèle défenseur du heavy metal, Rage célèbre cette année ses quarante ans d’existence ! De quoi donner le tournis au sympathique Peter « Peavy » Wagner qui a su, au fil des décennies et malgré les modes, naviguer à travers les multiples péripéties qui ont ponctué la carrière de la célèbre formation teutonne. Avec son premier double album Afterlifelines, le trio nous offre un parfait résumé de son talent en matière de heavy, speed et metal symphonique...
Si Resurrection Day, vingt-sixième opus de Rage, nous avait surpris par sa qualité et sa puissance, Afterlifelines permet au combo allemand,redevenu trio après un bref passage en quatuor, de nous offrir un manifeste de tout son panel musical qu’il a su développer au cours de ces quarante dernières années. Proposé sous la forme de deux cd’s ou vinyles (au choix), le premier s’appelant Afterlife propose onze titres heavy et speed metal, la marque de fabrique du gang teuton, alors que le second, Lifelines...
Les groupes cultes se font et se défont, naissent puis se déchirent, et les splits ou reformations sont monnaie courante dans le monde du rock au sens large car il faut bien vivre et payer ses factures, plus que jamais en ces temps d'inflation mondiale. Il n'y qu'à voir Slayer qui a pris sa retraite en 2019, et qui finalement revient sur le devant de la scène en 2024 avec deux dates de concerts d'ores-et-déjà annoncés pour cette année, alors que Kerry King se lance dans le même en solo... Mais aussi Pantera qui a relancé la machine power/thrash avec la moitié du line-up originel (Phil Anselmo (chant) et Rex Brown (basse)), l'autre moitié des défunts frangins Abbott (R.I.P.) étant remplacée par la belle paire, et pas des moindres, Charlie Benante (Anthrax, ex-S.O.D.) à la batterie / Zakk Wylde (Black Label Society, Ozzy...) à la guitare. Tiens donc, le père Zakky !
Pour ce cinquième chapitre, le groupe allemand originaire de Berlin et désormais basé à Stockholm en Suède d’où est originaire Nicke Andersson, le célèbre batteur d’Entombed et The Hellacopters (mais aussi Death Breath, etc.), est toujours accompagnée de l'Allemande Johanna Platow Andersson, connue dans le milieu artistique pour avoir déjà chanté dans The Oath, mais aussi DJ en club berlinois et co-fondatrice du label Riding Reaper Records au côté de son mari, qui n’est autre que Nicke Andersson, vous l’aurez deviné !
Avec 666, Cobra Spell vous injecte une intraveineuse de pur heavy metal des années 80. Passée une courte intro éponyme (« 666 »), nos cinq donzelles nous plongent d’emblée dans un sleaze metal avec le sulfureux « S.E.X. », premier single à la vidéo torride. Aucune originalité ici de la part de la formation batave, on en est bien conscient. Il s’agit toutefois d’un très bon et sincère copier/coller à la W.A.S.P. et Judas Priest, ou bien encore Scorpions version bas résille, cuir, et metal. On est tout de même séduit par la voix de Kristina Vega...
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