#metalcore

Après des débuts sous le patronyme d’ÆØNS pour son guitariste/producteur Jörg-Erik Hanikat et son batteur Robert Leht, ce jeune groupe estonien de cyber metal a fait peau neuve pour devenir cette nouvelle machine déjà très prometteuse qu’est Pridian aujourd’hui. Testant en quelque sorte le marché avec cet EP autoproduit avant un futur LP en cours d’élaboration, le quatuor originaire de Tartu (au sud-est de l’Estonie) se lance ainsi à la (re)conquête de la scène cyber metal européenne laissée orpheline depuis le split des p’tits Suisses de Sybreed en 2013...

Lire

Non, Dying Wish n’est ni une énième appli d’e-commerce, ni une nouvelle marque de lessive, mais bel et bien un super combo de metalcore dont vous allez entendre parler très prochainement ! Originaires de Portland (Oregon) et emmenés par sa frontwoman Emma Boster, ces Ricains n’en sont pas à leur premier coup d’essai à vrai dire, leur premier opus déjà publié chez SharpTone Records, Fragments Of A Bitter Memory, remontant à 2021. Mais quelle évolution entre ce dernier et le nouveau Symptoms Of Survival !

Lire

Qui veut du gros metalcore US qui tâche ? En veux-tu, en voilà, alors c’est parti avec les Yankees de Hollow Front. Séparé depuis peu de leur batteur Devin Attard, le combo de Grand Rapids (Michigan) se réduit désormais au duo dans son line-up officiel, avec toujours Tyler Tate (chant) et Lee Albrecht (guitare) en charge de la production ici dans son home studio. Or c’est bien connu, ce qui ne tue pas rend plus fort ! Et ça s’entend sur ce quatrième effort nommé The Fear Of Letting Go...

Lire

RESOLVE : Human

22 septembre 2023

Ce qui frappe le plus à l’écoute de second album de Resolve, c’est la dualité. En dehors de ses tubes de metal moderne taillés pour la scène (« Death Awaits », « Human », « New Colors »), Human regorge d’ovnis pop surprenants (« Moonchild », « In Stone » ou « Ignite »).

Lire

RESOLVE : Dualité

22 septembre 2023

2023 marque la montée en puissance de Resolve. Deux ans après leur premier album Between Me and The Machine : voici déjà le second accompagné d’un passage au Hellfest en juin dernier, et une tournée européenne… Rien ne semble donc pouvoir arrêter la jeune formation française en plein essor dont le style metalcore s’affirme ici, sans limites.

Lire

Recovery démarre fort avec « And I'm an Addict » et son riff entraînant, et l'on retrouve déjà ce côté shoegaze assumé, marque de fabrique inhérente à l'album. Le frontman Mark Tindal est en pleine possession de ses moyens (chant hurlé et spoken-words) et fait maintenant certainement partie de la crème des frontmen post-hardcore (parmi Joël Quartuccio de Being as an Ocean, Jordan Dreyer de La Dispute, Mike Hranica de The Devil Wears Prada pour ne citer qu'eux), tandis qu'une grosse partie du chant clair est assurée avec brio par le batteur Kieran Smith, chose jamais aisée, mais qui se fait plaisir avant tout sur « Chemical Counterpart »...

Lire

Les Ecossais de To Kill Achilles, toujours sur le label Arising Empire, récidivent et confirment leur statut avec un troisième album bien parti pour faire date sur la scène emo et post-hardcore. Avec Recovery, le bande de Dundee n’a en effet plus grand-chose à envier aux leaders du genre……

Lire

C’est avec une émotion sincère que nous avons appris le décès de Ryan Siew, survenu le 19 juin dernier à l’âge de 26 ans. Si les conditions du décès du guitariste du groupe de metalcore australien demeurent discrètes, il va sans dire que la sortie de ce nouvel album de Polaris, prévue le 1 e septembre 2023...

Lire

Il n’est jamais évident d’écrire un deuxième album après un premier opus réussi. Mais Caskets relève brillamment le défi avec Reflections.

Lire

« Être un Kingsman, c’est être quelqu’un qui a le courage d’endurer le pire, mais qui continue de refléter les meilleurs aspects de l’humanité. Donc, avec toutes nos chansons, c’est ce que nous essayons de montrer. » C’est en ces termes que Tanner Guimond, chanteur de Kingsmen, a introduit ce nouvel album, Bones Don’t Lie. Après un premier opus (Revenge. Forgiveness. Recovery) qui semble avoir fait l’unanimité, le groupe de Providence (Rhode Island) aura-t'il le courage d’endurer les critiques intraitables quant à celui-ci ?

Lire

3 ans après Finding God Before God Finds Me, Bad Omens est de retour avec son troisième album, THE DEATH OF PEACE OF MIND. Avec pas moins de 15 titres, cet opus marque un tournant pour le groupe, qui entre dans une nouvelle ère. Nous avons pu nous…

Lire

Le nouvel espoir du metalcore moderne américain se confirme. Bad Omens nous livre un prodigieux troisième album qui va au-delà des espérances d’un public et de la critique, déjà largement conquise par la formation menée par Noah Sebastian. S’affranchissant de toute pression et attente pour composer The Death Of Peace Of Mind, le groupe de Virginie a relevé le pari de se challenger en expérimentant et créant comme il ne l’a jamais fait auparavant.

Lire

Publicité