#Death Metal

Passée une courte intro sombre et malfaisante (« From the Abyss, Return », cette huitième offrande d’Aurora Borealis démarre pied au plancher avec « God Hunter », morceau d’une fulgurance absolue dédié au personnage biblique Nimrod (ou Namrod) face à la destruction de l’Humanité représentée ici par l’effondrement de la Tour de Babel au moment du Déluge (Ancien Testament).

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Plus que jamais en 2022, les nombreuses formations de métal extrême doivent innover pour tenter de se démarquer et sortir du lot sur l’immense toile qu’est internet, que ce soit à travers des vidéoclips toujours plus provocateurs, ou bien leur technicité sans oublier l’intérêt premier : la musicalité. Existant depuis 1994, Aurora Borealis fait déjà presque figure de vétéran sur la scène black/death metal US.

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Qu’est ce qui peut rassembler deux groupes comme Karras et Blockheads sur une même tournée dans l’Hexagone ? La passion, bien sûr, l’amitié aussi, tout ça autour de mêmes valeurs communes liées au death metal mais aussi surtout au grindcore. Plutôt que nous entretenir séparément avec chacune des parties,…

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Parmi les formations metal suédoises de retour sur le front et ayant brillé durant la décennie 90 sur la scène death, thrash, ou black, c’est au tour du trio d’Uppsala Defleshed. Si vous avez raté un épisode ou étiez tout simplement aux abonnés absents, voire pas encore de ce monde, (ré)écoutez leurs plus célèbres enregistrements Ma Belle Scalpelle

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Dans le premier album, les huit sages trouvent la personne qui sera le Catalyseur de leur force et le proclament Catalyseur et neuvième entité parmi eux, avec pour objectif de remplacer le Créateur. Dans ce deuxième album, l’accent est mis sur la bataille entre le Catalyseur et le Créateur, que l’on voit d’ailleurs sur l’artwork, dont l’issue de la bataille a pour dessein de rendre à cet univers sa splendeur perdue ». C’est carrément digne d’un scénario des Marvel Studios mais en mieux

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Si le nom de Catalyst n’évoque peut-être rien chez vous, alors comme nous, vous avez probablement manqué leur premier album The Great Purpose of the Lords. L’heure est aujourd’hui au mea culpa avec son successeur A Different Painting for a New World qui sort chez Non Serviam Records (Grief of Emerald, Pantheon I, Bliss of Flesh...).

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Déjà le cinquième opus pour la formation phocéenne de black/death metal mélodique que rien ne semble ébranler, à l’heure où malheureusement certains de leurs confrères jettent l’éponge (Svart Crown). À l’image du superbe nouvel artwork représentant un voyage dans l’au-delà, entre le purgatoire et l’enfer, ACOD continue son périple contre vents et marées, n’étant pas du genre à chômer ni à baisser les bras. Après l’arrêt de son précédent label qui publia The Divine Triumph en 2018, les Marseillais nous offrent Fourth Reign Over Opacities And Beyond. Nous avons fait le point avec son chef d’orchestre.

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Un peu trop rapidement estampillé à ses débuts « death métal moderne » à la Gojira mais aussi Dagoba pour ses influences thrash et l’aide du producteur/chanteur Shawter, le groupe phocéen a progressivement évolué à partir de l’EP Another Path… (autoproduction) qui ouvrit en 2014 un nouveau chemin afin de se détacher de ses étiquettes un peu trop collantes

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Si pour nous, occidentaux, Singapour demeure une ville marchande exotique à l’autre bout du monde, au passé colonial chargé et troublé, à l’instar de Taïwan dont la situation géopolitique est quelque peu tendue actuellement. Question métal, ses habitants ne sont pas en reste et bouillonnent de projets plus diaboliques les uns que les autres.

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Parmi les formations scandinaves de renom faisant actuellement leur grand retour sur la scène black/death metal, voici le Seigneur suédois Belial. Au côté des Mörk Gryning, Unanimated ressuscité dernièrement, Sacramentum (nouvel album à venir !) ou des increvables Necrophobic, les frères Backelin tentent de réanimer des braises encore tièdes après leur période discographique moins palpitante chez Regain Records...

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Le regretté Jim Morrison avait dit, de son vivant : « Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits ». Eh bien, il n’avait pas tort car plus que jamais, dans nos sociétés modernes, les médias, que ce soit la TV, internet et ses réseaux (a)sociaux, ou la musique (si l’on considère cette dernière comme un médium), nous influencent quotidiennement et façonnent notre manière de penser...

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Avec un tel nouvel artwork signé Eliran Kantor (encore lui !), les Américains d'Immolation changent la donne visuellement à la vue de la pochette de leur terrible et brûlot , Après des illustrations cultes et toujours soignées signées par le passé Andreas Marschall ou Pär Olofsson, s'agit-il d'un signe d'une intervention divine ...

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