Si l’album Illuminati marquait un certain retour aux thèmes de prédilection chers à God Dethroned, à savoir la religion, l’histoire, et la haine du christianisme, après une trilogie ambitieuse réussie autour de la Première Guerre Mondiale, il manquait peut-être alors d’un poil d’agressivité de la part de nos Bataves chéris. Sur The Judas Paradox, les fans de ce groupe phare de la scène metal extrême néerlandaise vont être comblés...
#Reigning Phoenix Music
Au fil des années, Orden Ogan s’est imposé comme une valeur sûre du dark power metal outre-Rhin. Ses concepts d’albums se sont toujours avérés ambitieux et payants avec au centre, l’histoire de son personnage fétiche Aleister Vale. The Orden Of Fear ne déroge pas à la règle...
Avec The Orden Of Fear, le maestro Sebastian « Seeb » Levermann et ses comparses poursuivent inlassablement une saga qui avait débuté avec Vale en 2008. Cette fois-ci, le concept cinématographique se rapproche de Ravenhead paru en 2015, la référence est d'ailleurs bien visible sur la pochette réalisée par Dan Goldsworthy...
Si The Eternal, gang australien formé en 2003, possède déjà derrière lui un long passé avec pas moins de six albums et deux EP, il connaît un véritable bain de jouvence depuis 2020 grâce à l’arrivée de Jan Rechberger, batteur d’Amorphis...
Skinwalker n’est pas une œuvre à mettre entre toutes les oreilles ! Il faut se l’approprier, l’adopter, l’apprivoiser doucement, respirer les différentes sensations offertes en quelques sorte tant le sujet est complexe et bien travaillé. Ici, pas de morceaux de moins de quatre minutes excepté un interlude, « Temptation’s Door »...
Comment parler de Kerry King sans évoquer le simple nom de Slayer ? Ceci n'est pas l'un des nouveaux sujets au choix de l'épreuve de philo au prochain Bac 2024, mais bel et bien la grande problématique à laquelle nous avons été confrontée lors de la préparation de notre interview avec l'artiste américain, lui qui a été contraint de raccrocher un peu trop vite de Slayer, et partir en retraite malgré lui. Et c’est tout bonnement impossible à l'écoute en avant-première de From Hell I Rise...
13, c’est un chiffre clé et bien souvent un porte-bonheur dans la vie, ou bien malheur quand on est superstitieux. Et Banished By Sin constitue justement le treizième méfait studio de la bande à Glen Benton. Toujours basé du côté de Tampa en Floride, Deicide perpétue son death metal blasphématoire (un pléonasme) qui ne s’assagit guère avec les années, cette légende existant depuis tout de même depuis 1989 (auparavant sous le nom d’Amon) ! Alors quand il s’agit d’interviewer son leader, rarement aimable dans le passé avec les journalistes...
Quelle éternelle brutalité ! Mais aussi quelle fluidité à l’écoute de ce treizième péché capital dans la discographie de Deicide ! Capital car il s’agit d’une nouvelle ère pour le légendaire quatuor de death metal de Tampa qui a signé un nouveau pacte avec le diable, ou plutôt avec le label américain Reigning Phoenix Music...
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