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Sur ce cinquième brûlot evil à souhait, nos désormais quatre suppôts de Satan ont pris le temps d’affûter leurs plus belles lames et parer leurs perfectos, pics, et autres cartouchières pour repartir à l’assaut des scènes européennes. Toujours emprunt de cette ambiance mélodique orientale qui apporte une touche originale à leur black/death metal devenu plus classieux et moins putride depuis The Ones From Hell (2020)...

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Le groupe allemand de Duisburg avait agité et bien réchauffé la planète metal/fusion avec la sortie de son premier méfait, Street Heat, en 2021 chez Beatdown Hardwear Rec., label plutôt étiqueté hardcore (Nasty, Ryker's...). Et cette influence hardcore que l'on retrouvait allègrement sur Street Heat l'est moins sur son successeur, en tous cas au niveau des voix des deux compères Fabio Krautner et Simon Blümel, dont les screams se font plus rares...

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No Terror in the bang a la particularité de se démarquer à bien des égards. D’abord par son metal cinématographique et progressif qui dégage une atmosphère unique et narrative pour vous emporter dans un univers sombre et hypnotique, mais aussi cette envie de développer quelque chose d’unique et d’atypique à…

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Technique, sombre et complexe, nuancée et atmosphérique par excellence, la formation née dans les forêts pluvieuses de l’Oregon (Portland, USA) est façonnée par ses musiciens au CV déjà impressionnant. Wes Hauch (ex-The Faceless, Black Crown Initiate) a accompagné Devin Townsend et Thy Art Is Murder à la guitare en live et l’excellent chanteur Kevin Muller fait toujours vivre The Merciless Concept (après avoir donné de la voix dans Suffocation, Dysentery et Pyrexia)...

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Originaire de Rouen, No Terror In The Bang évolue dans un style metal cinématographique original, à l’instar de nos amis méridionaux de Hypno5e, et dont le principal objectif est de vous embarquer dans des contes faits de clarté et de noirceur, partagés entre brutalité et douceur. Dans cet ambitieux concept, se développent diverses ambiances où s’exprime librement la voix puissante et groovy de Sofia...

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Malgré les nombreuses jacqueries dans l’Hexagone, la venue des Chartrains (d’origine) de Pénitence Onirique et de ses comparses n’a point été entachée pour cette soirée black metal française alléchante typiquement locale (avec les Orléanais des Bâtards du Roi) et régionale donc, mais pas que… En effet, Hell Gate effectuait également le déplacement depuis ses Vosges natales...

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Attention, voici la nouvelle grosse sensation death metal américaine qui risque fort de faire un malheur ! En provenance tout droit de Portland (Oregon), Vitriol avait déjà frappé en 2019 avec To Bathe from the Throat of Cowardice, puis un EP 3 titres, mais là, son nouvel assaut, baptisé Suffer & Become, va tout bonnement ravager sur son passage, quitte à secouer au passage les leaders du genre en déclin outre-Atlantique (Morbid Angel, Nile…), en plus de nous secouer l’échine...

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C’est par un drôle d’effet folk/bluesy interprété à la guitare électrique (genre qu’apprécie de plus en plus le guitariste/chanteur Kyle Rasmussen (lire notre interview)) aux sonorités dérangeantes et décadentes annonciatrices d’un massacre sonore (dans le bon terme ici) que s’ouvre ce deuxième méfait de Vitriol. Ce premier titre s’appelle « Shame and its Afterbirth ». Et croyez-nous, profiter de cette intro, car vos oreilles vont ensuite souffrir ! Suffer & Become porte d’ailleurs bien son nom (dans le bon sens du terme encore une fois) et s’annonce déjà comme la première grosse claque death metal de ce début d’année en provenance de l’Oncle Trump, pardon, l’Oncle Sam...

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Gates to Purgatory, c’est avant tout le premier album de Running Wild sorti en vinyle en décembre 1984, il y a quarante ans déjà ! Pour autant, nos Teutons avaient fondé le groupe en 1976. Aujourd'hui, ces Portes vers le Purgatoire s'ouvrent de nouveau à nous...

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Après Under Jolly Roger, un troisième opus très remarqué qui lança véritablement la carrière de Running Wild vers de nouveaux horizons et introduit le thème des pirates cher à la formation de Hambourg (thème qu’ils n’abandonneront plus lors de leur longue carrière), nos voisins allemands se devaient d’enfoncer le clou pour franchir une étape décisive ! C’est chose faite avec Port Royal qui s’inscrit dans la droite lignée de son prédécesseur et s’engouffre totalement dans l’histoire de la piraterie. Il suffit de jeter un œil sur la pochette, ambiance taverne de l’ile au trésor (Robert Louis Stevenson), pour comprendre. Port Royal est devenu au fil des années un classique incontournable du genre.

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Après un Marlow (l'abum, pas le fameux cépage bordelais ;-)) auréolé de succès en 2018 et une tournée en tête d’affiche financée par un crowdfunding réussi, monsieur Jakob Kirkevaag, premier supporter du groupe norvégien et père d’Agnete et BP (respectivement chanteuse, et guitariste/chanteur), s’est tristement éteint. Mais sa mémoire perdure ici à travers son artwork dont il est à l’origine...

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Pas toujours facile de se faire un nom sur le devant de la scène metal hellénique lorsque l’hégémonie des Rotting Christ, Necromantia, Nightfall ou autres Septicflesh perdure depuis trois générations. Têtes d’affiche nationales et porte-étendards du savoir-faire méditerranéen, ces groupes, à la renommée internationale, ont bien souvent tendance à faire de l’ombre aux nouveaux fleurons qui leur succèderont un jour… peut-être. Il y a des anciens qui tentent toujours de percer et reviennent par intermittence (Deviser) dans un registre plus mélodique, et des plus jeunes, comme Corax B.M., cas qui nous intéresse aujourd’hui...

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